Ca se propage sur internet : L’Autorité d’investissement du Qatar, la tirelire des Qatariens

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L’article d’origine :

Créé en 2005, le fonds souverain du Qatar est loin d’être le plus gros par rapport à ceux des autres pétromonarchies de la région. À titre de comparaison, celui du Koweït, créé dès 1953, détient plus de 730 milliards de dollars en 2022 (745 milliards d’euros). Mais avec 460 milliards de dollars d’actifs (470 milliards d’euros), la Qatar Investment Authority (Autorité d’investissement du Qatar, QIA) est tout de même un acteur de poids.

La QIA investit les excédents financiers de l’État dégagés grâce à la vente de gaz et de pétrole, avec un but affiché : « Générer des revenus à long terme pour ses actionnaires », soit les 330 000 citoyens qatariens. Le fonds a également pour mission, en cas de besoin, de « soutenir l’économie nationale ». Il a ainsi refinancé les banques locales lorsqu’elles ont été mises en difficulté par le blocus imposé par l’Arabie saoudite voisine, entre 2017 et 2021. Enfin, la QIA peut investir dans des entreprises au Qatar, « avec le but de répondre à des besoins du marché ».

L’essentiel des avoirs est placé à l’étranger, afin de générer une rente. Le fonds est assez discret sur ses participations, mais un certain nombre de ses investissements sont connus : la QIA est très présente dans l’immobilier, les banques, la distribution, la santé, l’industrie…

En France, elle a investi plus de 25 milliards d’euros pour l’achat du Paris Saint-Germain, d’hôtels de luxe parisiens, du grand magasin Le Printemps et de parts minoritaires dans nombre d’entreprises du CAC 40. La QIA est aussi en Allemagne actionnaire de Volkswagen, de la Deutsche Bank ou de l’énergéticien RWE. Elle investit 50 % de ses avoirs en actions cotées, 20 % en obligations et 30 % en prises de participation directes.

Sécuriser ses sources d’approvisionnement

Le but est de répartir les risques : « Le fonds souverain du Qatar investit dans une multitude de domaines avec un double objectif de diversification et de rentabilité », explique Seltem Iyigun, économiste pour la zone Moyen-Orient et Turquie chez Coface.

« Le but du Qatar est de générer une rente, mais aussi d’acquérir des savoir-faire qui sont rapatriés sur place, nuance Samy Chaar, économiste en chef de la banque suisse Lombard Odier. Le Qatar a du gaz, mais manque d’eau, d’aliments, de médicaments qui doivent être importés. Ils ont besoin de sécuriser leurs sources d’approvisionnement. »

La Qatar Investment Authority est actuellement gérée par Mansour Ben Ibrahim Al Mahmoud, un proche de l’émir ayant fait carrière dans la banque et l’administration. « Le fonds du Qatar a su attirer un grand nombre de bons spécialistes qui assurent une gestion professionnelle », confirme un banquier. Il ne prend que des risques limités avec ce qui constitue son bas de laine.

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