Que penser de ce papier : Romain Dupuy a comparu devant la cour d’appel de Bordeaux

Nos rédacteurs ont repéré un texte sur internet dont la thématique est «l’automobile».

Le titre saisissant (Romain Dupuy a comparu devant la cour d’appel de Bordeaux) en dit long.

Sachez que le journaliste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur internet.

Les révélations divulguées sont donc réputées véridiques.

L’éditorial a été divulgué à une date notée 2022-06-15 11:11:00.

Voici ll’article :

Par Elisa Artigue-Cazcarra

Romain Dupuy était devant la cour d’appel de Bordeaux, ce 15 juin. L’auteur du meurtre de deux soignantes à Pau, en 2004, demande à sortir de l’unité pour malades difficiles de Cadillac et à être transféré dans un service de psychiatrie générale

Entouré d’infirmiers, accompagné de ses parents, son oncle et ses deux avocats, Me Hélène Lecat et Serge Portelli, Romain Dupuy a comparu devant la cour d’appel de Bordeaux, ce 15 juin. L’homme, aujourd’hui âgé de 39 ans, est l’auteur du meurtre de deux soignantes, à l’hôpital psychiatrique de Pau, en décembre 2004. Des crimes dont il a été déclaré irresponsable pénalement du fait de sa maladie mentale : il présente un trouble psychotique de nature schizophrénique. Hospitalisé sous contrainte depuis dix-sept ans au sein de l’unité pour malades difficiles (UMD) de Cadillac, une structure sécurisée, il demande à être transféré dans un service de psychiatrie générale.

Pour la première fois, le 9 juin, un juge des libertés et de la détention (JLD) lui a donné raison. S’appuyant sur des avis de la Commission de suivi médical de l’UMD selon lesquels Romain Dupuy ne relève plus de cette unité depuis 2018 et sur plusieurs expertises psychiatriques qui confirment sa stabilisation, le juge a estimé que son placement en UMD était devenu « irrégulier » et portait « une atteinte aux droits du patient ». Le magistrat a autorisé le maintien d’une hospitalisation complète dans un autre service. Le parquet et la préfecture ont fait appel.

« On me stigmatise »

« Depuis 2015, je suis tous mes soins, je prends la même molécule. Les rares libertés qu’on m’a données se sont toutes bien passées. Je n’ai eu aucun problème avec personne. On me stigmatise à un point qui viole les droits de l’Homme. C’est de l’abus de pouvoir, de la maltraitance », a déclaré le trentenaire, s’exprimant très clairement et posément lors de l’audience en appel.

Le parquet général, la préfecture et l’agence régionale de santé ont maintenu leur opposition à un transfert, estimant que le JLD n’était pas compétent pour statuer sur ce point. La décision sera rendue vendredi 17 juin.

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