On revient sur l’article : Espace : la France rejoint le programme « Artémis » de la NASA visant à l’exploration de la Lune

Cet encart de quelques lignes ayant pour thématique « l’automobile » a été observé sur le web, nous avons projeté de vous le signaler dans cette publication.

Son titre (Espace : la France rejoint le programme « Artémis » de la NASA visant à l’exploration de la Lune) est parlant.

Sachez que l’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur internet.

Il n’y a pas de raison de douter de la fiabilité de ces révélations.

L’encart a été édité à une date indiquée 2022-06-08 07:33:00.

l’essentiel
La France devient le 20e pays à suivre le programme de la NASA « Artémis » en signant des accords visant à l’exploration de la Lune. L’exploitation des ressources de l’espace ou l’interopérabilité des nations sont aussi des points forts du programme Américain. 

La France a rejoint mardi 7 juin le programme de future exploration de la Lune impulsé par les États-Unis, en signant les « accords Artemis » qui envisagent notamment de créer des « zones de sécurité » pour protéger les ressources extraterrestres. Signé par le CNES, le texte précise que l’exploration concerne aussi la planète Mars ou certains astéroïdes. 

L’Hexagone devient ainsi le 20e pays (après le Canada, le Japon, le Royaume-Uni, l’Ukraine, Israël, les Émirats arabes unis ou encore le Brésil) à s’associer à cette nouvelle vague d’exploration de l’espace. 

Coopération spatiale

Le programme américain du même nom (NDLR : Artémis), vise à renvoyer des astronautes sur la Lune autour de 2025, plus de 50 ans après l’alunissage historique de la mission Apollo 11 pour y établir à terme une présence humaine durable. L’objectif est également l’interopérabilité des nations : « Les partenaires d’Artemis Accords accepteront de suivre l’exemple de la NASA, en publiant publiquement leurs données scientifiques pour garantir que le monde entier puisse bénéficier du voyage d’exploration et de découverte d’Artemis », explique la Nasa.

Ces accords prévoient aussi la construction d’une station qui sera assemblée en orbite lunaire à partir de 2024, le Lunar Gateway, futur tremplin pour des vols habités plus lointains. Les accords Artemis constituent un ensemble d’ententes bilatérales avec les États-Unis, qui s’appuient sur le traité international régissant l’espace extra-atmosphérique de 1967.

Exploiter de nouvelles ressources 

Points forts des « accords Artemis » : l’interopérabilité, le partage des données, le respect des zones de sécurité, la préservation des sites historiques, l’assistance internationale en cas de détresse mais surtout, l’exploitation des ressources de l’espace. La NASA stipule d’ailleurs que ce dernier point est primordial : « La capacité d’extraire et d’utiliser les ressources sur la Lune, Mars et les astéroïdes sera essentielle pour soutenir l’exploration et le développement spatiaux sûrs et durables.

Afin de faciliter de futures missions, toujours plus ambitieuses que les précédentes, l’exploitation des ressources de l’espace est un ainsi un point non négligeable. Cette exploitation, sera néanmoins régie par des règles strictes : « Les accords d’Artemis renforcent le fait que l’extraction et l’utilisation des ressources spatiales peuvent être et seront menées sous les auspices du Traité sur l’espace extra-atmosphérique, avec un accent particulier sur les articles II, VI et XI » conclut la NASA. 

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